La solitude de l’écrivain,
Je sais que j’suis dans le pétrin
Tout seul devant ma feuille,
Rien que du blanc dans l’oeil
Toute une page blanche
Et déjà je flanche
Ce combat entre le slam et moi,
C’est toujours lui qui fait la loi.
Je dois écrire quelques mots
Pour éviter de m’prendre un zéro
L’inspiration me manque,
Je vais jouer à la pétanque
L’inspiration me vient...
Non, en fait ce n’était rien.
Pire qu’une chanson,
C’est une vraie mission
Si je dois l’accepter,
Pitié venez m’aider.
Hurlant mon désespoir,
Je décide d’écrire mes déboires.
Et là si j’ai pas 20,
Alors je n’comprends plus rien !
Paul
J’ai cherché partout,
Pour trouver ce que je voulais,
J’ai cherché dans toutes les langues,
Mais je n’ai pas trouvé,
Ce que je souhaitais,
J’ai cherché pendant des heures, des mois, des années,
Toujours rien trouvé !
Du bruit dans la pièce d’à côté,
M’a carrément dispersé,
Je n’ sais plus où chercher,
Je suis à court d’idées,
L’inspiration ne m’est pas venue,
Je l’ai cherchée,
Mais j’ l’ai pas trouvée,
Alors j’ai cessé d’ chercher,
Et les mots se sont envolés !
Marianne & Caitlyn
Je t’ai appelé
Un jeudi de janvier
Pour que tu te souviennes
De cet été sur la côte Méditerranéenne
Mais tu n’as pas répondu
Je me suis senti perdue
J’ai pensé à ces moments où tu étais là
A ces secrets que l’on se disait tout bas
Nous étions en Turquie
Nous étions deux petites filles
Pleines de rires et de folies
Qui aimions la vie
Puis tu es rentrée sur Brest
Au n°6 de la rue Jean-Jaurès
Cette ville où il pleut sans cesse
Mais tu ne m’as pas laissée ton adresse
Armelle (4ème4)
Nous avons trop souvent peur,
Peur de ne pas être capable,
Peur du jugement des autres.
Nous laissons nos peurs entraver nos espoirs,
Sans se douter qu’il n’y a que nous qui puissions diriger notre propre vie.
Et disons non,
A tous ce qui est bon sans ajouter de sons.
Lorsque nous voulons dire oui,
Nous ne sortons aucun bruit.
Lorsque nous voulons crier,
Nous devons nous taire,
Pourquoi ne pas réagir ?
Alors arrête !!!!
« fais comme moi »,
Réalise ce que tu n’as jamais osé sur le chemin de la liberté,
Ne force pas les autres à changer
Et accepte quelqu’un tel qu’il est.
Ne te cache pas des regards des autres,
Aie foi en ce que tu fais et tu réussiras à coup sûr,
Pense très fort à ceux que t’aimes,
Et pense aussi aux choses qui te rendent heureux.
Personne ne t’aime aussi fort que tu le penses
Mais si tu cherches réellement l’amour
Tu le trouveras un jour
Aie confiance
Et la peur disparaîtra pour toujours
Maelle et Cyrielle (4ème4)
Hitler déclare la guerre
Tout le monde est en colère
Les missiles nucléaires
Ont endommagé la terre
Les rafales de mitraillettes
S’entendent à perpète
Les maisons sont détruites par les lance-roquettes
Les hommes ont perdu la tête
Hitler déclare la guerre
Tout le monde est en colère
Les missiles nucléaires
Ont endommagé la terre
Les soldats décimés en première ligne
Ou bien déchiquetés au champ de mine
Sont morts dans les ruines
Moi j’appelle ça un crime
Hitler déclare la guerre
Tout le monde est en colère
Les missiles nucléaires
Ont endommagé la terre
La guerre n’a fait que des massacres
Marin et Thomas 4ème 4
On a rien foutu
On va se faire défoncer
Et je trouve pas mon ukulélé
Et mon pépé va me frapper
On va avoir un zéro
Je vais être privé de Mac do
Et moi d’ordinateur
Je vais devoir passer l’aspirateur
Je vais me reprendre en main
Je vais remettre ça à demain
Notre slam va pas passer
Ta raison on va se faire saquer
Si on faisait un truc sur les éléphants ?
Non ! on a plus le temps
Je vais me reprendre en main
Je vais remettre ça à demain
Je trouve pas de rime à ça
Bon ! Bah ! compte pas sur moi
C’est le dernier cours
T’as des idées ? moi je suis à court
Ce qu’on a fait c’est très nul
Bah ! en même temps on a rien foutu
Je vais me reprendre en main
Je vais remettre ça à demain
Arnaud & Alexandre (4ème5)
On fait un petit appel
Pour tous les animaux,
Tous les végétaux
Qui ne trouvent pas les mots.
Pense à ta planète tant
Que tu as toute ta tête .
Profite dès maintenant
Et sauve ton environnement.
Tant qu’il reste des rivières,
Il y aura de l’eau sur terre.
Pendant que les hommes désespèrent,
Toi sauve ton univers.
Le réchauffement climatique,
Fait fondre l’antarctique.
Y’a aussi les voitures,
Qui pourrissent la nature.
Le transport en commun,
C’est pas pour les chiens !
Pour voir des paysages,
Et garder nos nuages
Y’a le co-voiturage .
Il ne faut pas faire de mal,
A la forêt tropicale,
Sinon ça va aller mal…
Il faut trouver la potion contre la pollution !
Léna & Léa (4ème5)
Les hommes n’ont pas beaucoup évolué,
Il y a toujours eu des conflits.
1552 Les conquistadors envahissent le Pérou,
Et dès lors les arquebuses résonnent.
Les hommes n’ont fait que changer leurs moyens de tuer,
Il y a toujours eu des conflits.
1876 Les cow-boys persécutent les indiens,
Et dès lors les révolvers résonnent.
Les hommes n’ont fait que changer leurs moyens de transports,
Ce ne sont plus des chevaux mais des chars d’assauts.
1914 Les Allemands nous assomment d’obus toujours plus gros,
Mais la marine anglaise a des canons qui tonnent.
Les hommes n’ont fait que changer leur porte parole,
Voila maintenant le temps des dictateurs.
1939 Nous voila parti en guerre contre les Nazis,
Et dès lors toutes les cloches sonnent.
Cesseront-ils un jour ?
Y aura-t-il la paix ?
Sera-ce pour toujours ?
Ou jusqu’au mois de mai ?
PAUL 4ème5
Îles, îles, îles
Ce rêve si gentil avec plein de gens souriants
Balayées par les grands vents
Les îles loin de tout
Où les rêves les plus fous
Y sont réalisés au milieu de l’été
Iles sous les tropiques
Iles en antarctique
Iles volcaniques
Iles fantastiques
Station balnéaire
Paysage lunaire
Les îles sont accueillantes
Les îles sont distrayantes
Îles, îles, îles
Ce rêve si gentil avec plein de gens souriants
Balayées par les grands vents
Avec leurs sables et leurs palmiers
Elles nous font toutes rêver
Les îles de l’été
Avec leurs phoques et leurs glaciers
Elles nous font toutes frissonner
Les îles enneigées
Avec leurs pluies et leurs galets
Elles nous ont tous épatés
Les îles de Guernesey
Iles, îles, îles
Ce rêve si gentil avec plein de gens souriants
Balayées par les grands vents
Simon 4ème 5
Ouvre les yeux,
Et considère ce monde.
Entends les cieux,
Eux aussi grondent.
Regarde ce monde,
Fait d’humains irrespectueux,
Ou qui s’en moquent.
Comment pouvons-nous ne pas respecter les vieux,
Ou tuer gratuitement des gens, cela me choque.
Que crois-tu que le monde pense ?
Il en a marre de tous ces problèmes et de la violence.
Que penses-tu toi, quand tu observes ce monde ?
Tu n’imagines même pas une seule seconde.
Alors rassemblons-nous, pour faire changer les choses,
Aujourd’hui, c’est l’endroit où l’on vit qui est remis en cause.
Voilà, juste quelques vers, pour essayer de faire tourner la roue,
Les seuls qui peuvent changer les choses, c’est Nous.
Alexandre et Paul
Le matin c’est galère j’ai la tête à l’envers, J’ai autre chose à faire qu’aller en vie scolaire,
En mathématiques avec l’arithmétique qui n’est pas si épique dans ce monde pathétique, remplies de nombres qui sont en surnombre dans la pénombre remplie de fond en comble.
Au self dans la queue çà fait 2h que j’ poirote pour avoir mon plateau, mon verre est brisé, mon couteau est pété, ma fourchette est tordue et la cuillère n’en parlons plus. Devant le présentoir on nous donne un bavoir puis on nous sert de la purée qui me donne envie de gerber.
Lorsque j’ai terminé un gars me fait tomber puis il se met à rigoler...
Après avoir manger, je retourne en français , la prof. dit d’fermer les cahiers j’vais vous évaluer, c’est une de ces interro surprise prévue depuis un mois car on n’l’avait pas vu depuis ; c’était pour ça !
Quand vient la récrée, qui pour nous est sacrée on s’met à copier les devoirs qu’on n’a pas fait, les profs vont arriver on se dépêche de terminer parce que sinon ça va chauffer !
Dernier cours de la journée, on est tous épuisé, on est tous énervé et même lessivé, dans les dernières minutes la prof ne peut plus nous calmer car on est trop excité à l’idée de rentrer.
_ C’est la libération çà vient de sonner, la pression est retombée, les cours sont terminés, lorsqu’on est chez soi, on ne veut plus y penser, on essaye de déstresser, mais lorsqu’on va se coucher, notre dernière pensée est que tout ce qui vient de se passer va recommencer...
Baptiste
Le vent a soufflé sa brise
Sur la terre froide
Il a aimé vivre
Mais il n’arrive plus à y croire
Toi tu as marché sur ton chemin
Tu as vu le sentier commencer
Toi tu n’as voulu de rien
Sauf pouvoir avancer
L’eau s’écoule sur les terres
Elle abreuve la nuit
Elle retourne à la mer
Et recommence à vie
Toi tu marches sur ton chemin
Tu suis bien ta voie
Toi tu n’as voulu de rien
Sauf de ton bâton de bois
Le feu brillera dans ton coeur
Et ton âme se réchauffera
Tu ne croiras plus au malheur
Et la braise s’enflammera
Toi tu marcheras sur ton chemin
Tu verras ce sentier terminer
Toi tu ne voudras de rien
Sauf finir de marcher
Mais les fleuves ont été déviés
Les arbres disparus
La terre demande pitié
Mais l’homme de l’entend plus
Toi tu as cru finir ton chemin
Mais ce n’était qu’un rêve
Toi tu n’as voulu de rien
Sauf avoir une trêve
Le ciel pleure
Il ne veut plus souffler
Il crie sa douleur
Celle d’être exploité
Toi tu as trébuché sur ton chemin
Et tu as commencé à dévier
Toi tu n’as voulu de rien
Sauf essayer de rester
Des vies ont été abrégées
Car Ils ont voulu construire
Des forêts ont été dévastés
Et ce projet s’est vu mourir
Toi tu as quitté ton chemin
Et tu as finit pas t’égarer
Toi tu as pris la voie des Humains
Et tu Les as imités
Jeanne
Les fleurs que tu nous offres nous apportent du bonheur.
Ce sentiment reste dans nos cœurs.
Comme la douceur de tes mots,
Leurs parfums nous rappellent le tien.
On se souvient de cet endroit,
Calme comme toi.
Toi, qui as un cœur gros comme la terre,
Tu chéris ces fleurs comme ton amour,
Perdu dans une immense prairie.
Marguerite. Rose. Violette.
Où êtes-vous ?
Vos couleurs pastelles ou vives,
Nous attirent chaque printemps,
Pour vous voir avant la fin de l’été.
On vous retrouvera au printemps prochain.
Mais en fait,
Lors des fêtes,
Vous les fleurs,
Vous nous apportez que du bonheur.
JENNIFER
On s’est croisés dans cet ascenseur
Je n’avais ni frisson, ni peur
J’m’arrêtais au premier étage,
T’étais à ton deuxième mariage
Y’avais ta secrétaire
Qui faisait la commère
A tous les étages,
C’était pas un avantage.
Tu te la jouais avec ta mini
Tu me disais :« T’es sexy ! Viens par ici »
J’venais dans ton bureau
T’avais toujours plein de boulot.
On pouvait pas t’parler
T’était toujours pressé
Mais un jour j’ai réussi
Et on s’en ai sortis.
Depuis c’est l’amour
Mais cette fois pour toujours
Maintenant j’suis apeurée
Maintenant j’suis apeurée
Apeurée d’être... Trompée.
Mélanie et Marie
Je suis un adolescent,
J’ai quatorze ans,
Ce n’est pas toujours marrant.
D’abord, il y a les parents qui m’engueulent tout le temps,
Et puis il y a l’école, on peut pas dire que j’en raffole,
Quand en classe je rigole,
Je me retrouve évidemment en colle,
Il faut que je comprenne qu’il faut travailler
Pour moi, pas pour briller en société,
Mais ce n’est pas évident,
Je n’ai que quatorze ans,
Moi j’ai envie de m’amuser
De rigoler, de glander, de chatter
Avec tous mes copains
Qui ne sont toujours pas malins...
Parfois je me sens mal,
Je râle, je râle, je râle
Je n’arrive pas être le grand que je voudrais être pourtant,
Je préfère tapoter mon ordi rageusement,
Je sais que j’exagère,
Que ma famille désespère,
Mais il n’y a rien a faire.
Je sais que je devrais être plus tolérant,
Envers mes frères, mes parents,
Ecrire me permet d’exprimer mon mal être
Et mes moments de détresse,
Mes moments de paresse,
Puissent-ils s’envoler, s’effacer, disparaître,
Mais je ne suis qu’un ado,
J’ai 14ans et ce n’est pas toujours marrant.
Anonyme
Aujourd’hui la nature meurt,
Aujourd’hui on a tous peur
Le réchauffement climatique,
IL détruit l’antarctique
La fin des ours blancs
C’est encore plus rageant
Aujourd’hui la nature meurt,
Aujourd’hui on a tous peur
Les camions et les avions
Ils accentuent le pollution
Le plastique jeté par terre
C’est vraiment trop la misère
Aujourd’hui la nature meurt,
Aujourd’hui on a tous peur
A cause de mauvais capitaine
C’est l’extinction des baleines
Nos belles plages du Finistère
Se salissent et dégénèrent
Aujourd’hui la nature meurt,
Aujourd’hui on a tous peur
Demain les tsunamis
Et après…LA FIN DE LA VIE
Agathe & Marine
Le jour se lève sur la ville,
Le soleil brille,
Dans mes yeux un torrent de larmes,
Ce matin, je rend les armes.
Longtemps, j’ai cherché, soulevé, déplacé,
Chaque coin, chaque bois, chaque fossé a été fouillé,
Ce matin, le jour se lève,
Le souffle coupé, le cœur brisé,
Je me rends à l’évidence, mon enfant m’a été enlevé.
Vivre, je dois continuer à rechercher le mal qu’on lui a fait.
Martyrisé ou peut être assassiné ?
Tout le long de ma vie,
Je chercherai ma fille.
L’homme,
Petit, grand, fort, peu m’importe, le principal est de sonner à la bonne porte.
Enquêteurs et policiers,
Il ne faut pas qu’elle meure,
Il ne faut pas l’oublier.
Seule, dans mes pensées,
Dans ma souffrance,
Je pense à son enfance.
Chambre vide,
Mon cœur est percé à tout jamais.
J’ai traversé mer, air, terre,
J’ai croisé des oiseaux, des chiens et des cerfs,
Personne ne l’ a vu !
J’ai pleuré, pleuré et encore pleuré,
J’ ai crié, crié et encore crié,
Personne ne m’a entendu !
Quand je suis rentrée,
Petite maison ma décorée,
Mal entretenue sans aucune issue,
Là, sur le parquet...
Ma fille !!!!!!
Le soir tombe sur la ville,
La lune brille,
Ce soir la je rends les armes.
Longtemps, j’ai cherché, soulevé, déplacé,
Chaque coin, chaque bois, chaque fossé a été fouillé.
Ce soir là,
La nuit tombe,
Le souffle coupé, le cœur brisé,
Je me rends à l’évidence, mon enfant a été...
Tué !!!!!!!!
Clara & Emma
Faire des phrases, c’est facile sans y penser
Les mots sont immobiles, triés, rangés, classés.
Laissons-les aller, laissons-les jouer.
Ils ont besoin d’espace, laissons-les respirer.
Les mots, c’est comme une mélodie
Qui ne sera jamais finie.
Les mots, c’est pas compliqué,
Il faut juste les assembler
Dans le bon ordre, sans trop les serrer.
Les mots, c’est comme une poésie
Ou comme un récit
Qu’on lit et relit.
Les mots, c’est comme un roman
Comme un roman palpitant
Qui vibre entre nos mains
Et qui n’a pas de fin.
Les mots, c’est comme les hommes
Chacun a sa propre forme
Chacun d’eux est unique
Ensemble, ils forment une musique.
Je vais pas tout vous raconter
C ’est bien trop compliqué.
Tout ça pour vous dire
Que les mots ont un avenir
Qu’ils vivent et qu’il ont un sens
Et qu’ils pèsent lourd dans la balance
Moi, je les ai utilisés
Dans le bon ordre, je les ai rangés
Sans trop les embêter
Et voilà ce que ça a donné.
Delphine
Rihanna, David Guetta, Lady gaga sont dans la place
Georges Brassens et Michel Sardou ils sont trop mous
C’est dommage qu’il soit mort Mickael Jackson
Parce que sa musique, elle sonne
Vous savez pourquoi elle penche la tour de Pise ?
Eh bien c’est parc’qu’il y a eu un concert des black
eyed peas
Les groupes récents nous font bouger,
Pas comme ceux du siècle dernier
Ce qu’il faut pour votre vie , c’est un métier
Moi j’pensais avant être DJ
Mais voila avec l’école on apprend
Et j’me suis rendu compte que c’était pas toujours marrant
J’espère que vous avez compris,
Que tout l’monde ne peut pas être Katie Perry
Y a des gens qu’ont des dons,
D’autres, dès qu’ils chantent, passent pour des cons.
Gaspard 4°3
Comme un enfant perdu dans les ombres
Les ombres des soldats morts hantent la ville
Les vils tueurs marchent dans les rues
Le sang coule à flot tel un fleuve en grand
Les cris des obus assourdissent les rescapés
Tu vois ton frère mourir et crier
Seul face à son désespoir
Je voudrais tellement effacer cette histoire de ma mémoire
Tu vis ou tu meurs
Tu rigoles ou tu pleurs
Tu marches ou tu sombres
Telle est la loi de ce monde
Tu la respectes ou tu la méprise
Tu te soumets ou tu te révoltes
Mais te voilà en face de tous ces corps
Impuissants face à la mort
Guillaume / Nathan / Paul Edouard / Maylis
Au début de l’activité,
Je n’avais pas d’idée
Je pensais l’exercice difficile,
Mais, en fait, c’était facile.
Tous étaient par groupe de trois.
Moi, j’étais seul avec moi et moi.
Le slam m’était inconnu,
Et You Tube ne fonctionnait plus
J’ai galéré, j’ai mangé mon texte,
Ma tête est partie à l’ouest.
La chute, ce n’est pas que j’en ai pas,
Mais, pour l’écrire, une minute, il me manqua.
Au début de l’activité,
Je n’avais pas d’idée.
Je pensais l’exercice difficile,
Mais, en fait, slammer c’est facile.
Brieuc Siméon 4ème1